Confessions d'un cœur brisé
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Confessions d'un cœur brisé
Un jour nous nous réveillons milliardaires
Le soir nous sommes six pieds sous terre
Pas besoin de beaucoup de millénaires
Pour franchir cette mince frontière
Passer de l'ombre à la lumière
Ou, bien à l'opposé de ses contraires,
Ne juste pas lancer la pierre,
Rester à l'abris de nos pairs,
Loin de tout les cimetières.
Mais pas tous aiment être solitaire...
Sortir dans les rues c'est ouvrir son âme au pire,
Soit ne jamais connaître l'amour et souffrir
Ou trop la connaitre et faire de ses corps son empire,
Son seul salut devenant ses femmes qui soupirent.
Mais quand l'amour serat passé,
Que restera de cette sensation abandonnée,
Tel un lointain souvenir effacé,
Brûlé, déchiré, brisé, abusé ?
Le chemin est-il déjà tout écrit ?
La fatalité est-elle déjà en vie ?
Tel un fruit empoisonné et pourri,
Notre destin est-il tout déjà décrit ?
Mais lorsque le glas sonnera, qui ?
Qui viendra te prendre à moi, chéri ?
Tu me dit que tu es immortel mais l'est-tu vraiment ?
Tous un jour oublient, même les plus beaux moments.
La mémoire s'effrite et s'amenuise au cour du temps,
Personne n'est immortel, pas très longtemps.
Tous un jour s'éteindront tels la brise du printemps
Tous un jour nous seront remplacer par un coup de vent
Ce jour la, même nos écrits laissé ne traverseront le temps
Bien sûr, on se rappellera peut-être de toi avec tes terreur
Mais sache ce qui reste plus longtemps sont tes erreurs
Moi, je saurai outrepasser ce détail qui fait peur
Je percerai la glace de ton cœur remplis de malheur
Je poserai ma main sur ce cœur battant avec fureur
Peut importe ce qui nous sépare, je serait la douceur
Mais, je t'en prie, ne part pas, reste pour l'heure...
Laisse-moi contempler ton corps,
Laisse-moi dormir contre ton cœur.
Je me réveillerai milliardaire grâce à toi
Mais je serai six pieds sous terre loin, si loin de mon roi,
Pas besoin de plusieurs millénaire pour trouver mon toit,
Franchir cette mince frontière et trouver ma voie,
Passer de l'ombre à la lumière, se foutre de la loi,
Ou bien, à l'opposé de ses contraires, je te ferai mon choix,
Ne juste pas lancer la pierre, ne pas pointer du doigt.
Rester à l'arbrit de nos pairs, enlacé dans notre foi.
Loin de tout les cimetières, loin de toutes ses croix.
Mais pas tous aiment être solitairent. C'est pour ça que je t'ai toi.
Le soir nous sommes six pieds sous terre
Pas besoin de beaucoup de millénaires
Pour franchir cette mince frontière
Passer de l'ombre à la lumière
Ou, bien à l'opposé de ses contraires,
Ne juste pas lancer la pierre,
Rester à l'abris de nos pairs,
Loin de tout les cimetières.
Mais pas tous aiment être solitaire...
Sortir dans les rues c'est ouvrir son âme au pire,
Soit ne jamais connaître l'amour et souffrir
Ou trop la connaitre et faire de ses corps son empire,
Son seul salut devenant ses femmes qui soupirent.
Mais quand l'amour serat passé,
Que restera de cette sensation abandonnée,
Tel un lointain souvenir effacé,
Brûlé, déchiré, brisé, abusé ?
Le chemin est-il déjà tout écrit ?
La fatalité est-elle déjà en vie ?
Tel un fruit empoisonné et pourri,
Notre destin est-il tout déjà décrit ?
Mais lorsque le glas sonnera, qui ?
Qui viendra te prendre à moi, chéri ?
Tu me dit que tu es immortel mais l'est-tu vraiment ?
Tous un jour oublient, même les plus beaux moments.
La mémoire s'effrite et s'amenuise au cour du temps,
Personne n'est immortel, pas très longtemps.
Tous un jour s'éteindront tels la brise du printemps
Tous un jour nous seront remplacer par un coup de vent
Ce jour la, même nos écrits laissé ne traverseront le temps
Bien sûr, on se rappellera peut-être de toi avec tes terreur
Mais sache ce qui reste plus longtemps sont tes erreurs
Moi, je saurai outrepasser ce détail qui fait peur
Je percerai la glace de ton cœur remplis de malheur
Je poserai ma main sur ce cœur battant avec fureur
Peut importe ce qui nous sépare, je serait la douceur
Mais, je t'en prie, ne part pas, reste pour l'heure...
Laisse-moi contempler ton corps,
Laisse-moi dormir contre ton cœur.
Je me réveillerai milliardaire grâce à toi
Mais je serai six pieds sous terre loin, si loin de mon roi,
Pas besoin de plusieurs millénaire pour trouver mon toit,
Franchir cette mince frontière et trouver ma voie,
Passer de l'ombre à la lumière, se foutre de la loi,
Ou bien, à l'opposé de ses contraires, je te ferai mon choix,
Ne juste pas lancer la pierre, ne pas pointer du doigt.
Rester à l'arbrit de nos pairs, enlacé dans notre foi.
Loin de tout les cimetières, loin de toutes ses croix.
Mais pas tous aiment être solitairent. C'est pour ça que je t'ai toi.
Luna Trannyth- Reine des Marcheurs de Rêves
- Messages : 71
Date d'inscription : 06/08/2011
Car La Vie N'est Pas Toujours Rose
Deux heures du matin
Aucun espoir en demain
Des souvenirs aériens
Au cœur un chagrin
Pourtant je devrai être contente pour lui
Il est en couple mais avec quelqu'un qu'il a fuit
Cet homme qui m'a tellement fait mal depuis
Il est partis mais mon âme garde un souvenir moisi
Une multitude de questions se bousculent dans ma tête
Oui, non, peut-être et pourquoi sont invités à la fête
Tant de non-réponse à satisfaire depuis nos ancêtres
Tant de mystères abîmés sur les crêtes
Découvrir en choc, apprendre de soi ou se le faire dire ?
Déchirer en deux cet amour qui pourrait terminer pire ?
Que faire, je me le demande. Le laisser souffrir ?
Lui qui m'a vu, de ses bras et de ses yeux, grandir ?
Je ne puis répondre à mes propres questions
Je ne puis résoudre la famine de mes actions
Mais puis-je taire mes pensées, ces abominations ?
Ou tomberai-je de nouveau dans l'addiction...
L'hiver laisse tombé sa blanche neige
Le printemps amène ses fleurs fraîches
L'été souffle sur nous son chaud sortilège
L'automne nous ramène le collège
Combien de saisons encore s'éteindront,
Combien de tempêtes nous traverserons,
Combien de colères nous dissoudrons
Avant que tu ne réalise que ils s'en irons
Les gens sont la pour une raison, une saison ou la vie
Ne laisse pas ceux d'un raison te rendre affaibli
Ne laisse pas ceux d'une saison te rendre surpris
Laisse ceux d'une vie s'occuper de ramasser les morceaux que tu laisseras derrière ton cœur anéanti.
Aucun espoir en demain
Des souvenirs aériens
Au cœur un chagrin
Pourtant je devrai être contente pour lui
Il est en couple mais avec quelqu'un qu'il a fuit
Cet homme qui m'a tellement fait mal depuis
Il est partis mais mon âme garde un souvenir moisi
Une multitude de questions se bousculent dans ma tête
Oui, non, peut-être et pourquoi sont invités à la fête
Tant de non-réponse à satisfaire depuis nos ancêtres
Tant de mystères abîmés sur les crêtes
Découvrir en choc, apprendre de soi ou se le faire dire ?
Déchirer en deux cet amour qui pourrait terminer pire ?
Que faire, je me le demande. Le laisser souffrir ?
Lui qui m'a vu, de ses bras et de ses yeux, grandir ?
Je ne puis répondre à mes propres questions
Je ne puis résoudre la famine de mes actions
Mais puis-je taire mes pensées, ces abominations ?
Ou tomberai-je de nouveau dans l'addiction...
L'hiver laisse tombé sa blanche neige
Le printemps amène ses fleurs fraîches
L'été souffle sur nous son chaud sortilège
L'automne nous ramène le collège
Combien de saisons encore s'éteindront,
Combien de tempêtes nous traverserons,
Combien de colères nous dissoudrons
Avant que tu ne réalise que ils s'en irons
Les gens sont la pour une raison, une saison ou la vie
Ne laisse pas ceux d'un raison te rendre affaibli
Ne laisse pas ceux d'une saison te rendre surpris
Laisse ceux d'une vie s'occuper de ramasser les morceaux que tu laisseras derrière ton cœur anéanti.
Luna Trannyth- Reine des Marcheurs de Rêves
- Messages : 71
Date d'inscription : 06/08/2011
Partis Sans Laisser De Bruits
A toutes les foits qu'elle vien,
Tu remet ton masque de comédien
Elle dit ne pas se sentir bien,
Elle garde contre elle mon musicien
Elle joue une scène pour te prendre à mes bras
Elle te déballe sans arrêt son charabia
"La nuit est encore jeune, elle n'est pas la,
Vien dans mon lit, vien dans mes draps,
Personne ne sera au courant, je ne le dirai pas"
Sera tu résister à l'appel de la geisha ?
Vos corps enlacées écrivent la fin de notre saga
Nous avions pourtant un beau futur prévu
Puis elle est arrivée dans ta vie, rien n'était prévu
Elle t'a arracher à moi de par son corps nu
Mais que pouvais-je faire face à cette inconnue ?
Elle était la, t'étreignant de sa peau entretenue
Elle à réussi à faire ce que je n'ai pas su,
Te garder à mes côtés avant qu'une autre te prenne à mon insu
Certaines personnes peuvent croire à une trahison
Mais d'autres voyant un cruel abandon
Tu étais le seule à faire tomber mes résolutions
Mais elle est venue te prendre à moi, quelle dérision
Mais pourquoi est-elle venue te chercher toi, mon blanc rayon
Pourquoi la mort t'a emportée malgré toutes les supplications.
Tu remet ton masque de comédien
Elle dit ne pas se sentir bien,
Elle garde contre elle mon musicien
Elle joue une scène pour te prendre à mes bras
Elle te déballe sans arrêt son charabia
"La nuit est encore jeune, elle n'est pas la,
Vien dans mon lit, vien dans mes draps,
Personne ne sera au courant, je ne le dirai pas"
Sera tu résister à l'appel de la geisha ?
Vos corps enlacées écrivent la fin de notre saga
Nous avions pourtant un beau futur prévu
Puis elle est arrivée dans ta vie, rien n'était prévu
Elle t'a arracher à moi de par son corps nu
Mais que pouvais-je faire face à cette inconnue ?
Elle était la, t'étreignant de sa peau entretenue
Elle à réussi à faire ce que je n'ai pas su,
Te garder à mes côtés avant qu'une autre te prenne à mon insu
Certaines personnes peuvent croire à une trahison
Mais d'autres voyant un cruel abandon
Tu étais le seule à faire tomber mes résolutions
Mais elle est venue te prendre à moi, quelle dérision
Mais pourquoi est-elle venue te chercher toi, mon blanc rayon
Pourquoi la mort t'a emportée malgré toutes les supplications.
Luna Trannyth- Reine des Marcheurs de Rêves
- Messages : 71
Date d'inscription : 06/08/2011
Pensée de Janvier
La vie est comme une pièce de théâtre
L'attente du levé du rideau est tangible
Tous attendent patiemment devant l'âtre
Puis une cloche sonne, bien audible
Tous se ruent à leurs place,
Les acteurs montent sur les planches
Les applaudissements sont éparses
Le rideau laisse place à un vide immense
Les actes défilants, le temps passant
Les artistes incarnant les drames,
Les spectateurs les suivants
Les projecteurs éclairant les larmes
Puis, le point culminant arrivé
Le méchant et le gentil dévoilé,
Les cœurs résonnant de nouveau à l'unisson
L'eau coulant à nouveau sous les ponts
Le sang éclate tel une pluie poisseuse
Le carnage étrangle les acteurs
Douce de lumière, entrée jardin de la faucheuse
Black-out sur scène, dernière peur
Dernier salut, remerciement,
Fermeture des lumières en dégradé
Retour pour les plus importants
Chute du rideau sur les roses fanées
Luna Trannyth- Reine des Marcheurs de Rêves
- Messages : 71
Date d'inscription : 06/08/2011
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